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Page:Porto-Riche - Bonheur manqué, 1889.djvu/46

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Je te dirai les poésies
Que j’écrivis pour la troubler ;
Et tu plaindras mes jalousies,
En écoutant ma voix trembler.

Nous passerons devant sa porte,
Et, tu verras, je pâlirai ;
Nous causerons de cette morte,
Et pour tes pleurs, je te paîrai.