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Page:Régnier - La Canne de jaspe, 1897.djvu/294

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s’amusent mes songes de soif et de philtres, je regarde, au-dessus des fleurs des consoles, sur le mur, dans son cadre d’écaille et d’ébène, debout en ses armes glacées, l’antique portrait taciturne, avec sa face pâle et son épée, du chevalier qui a dormi dans la neige !