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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/174

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» et vivais honnêtement de mon travail, lorsqu’un jour et absolument par la même voie que vous, sur la demande qu’on faisait d’un maître de dessin habile dont ces scélérats ont besoin pour leur fabrication, je me suis présenté à l’adresse indiquée et suis tombé dans le gouffre où nous gémissons tous deux. Je partage vos peines, Madame, je ferai tout pour les adoucir ; mais au nom de vous-même, modérez votre douleur, dissimulez. Talbot, cet Anglais atroce est un homme terrible, les femmes lui sont en horreur ; il se ferait un jeu de vous livrer à toutes les terreurs, de fouler aux pieds tous vos principes. Ayez l’air de subir votre sort avec résignation, renfermez sur-tout le désir de vous échapper. C’est ici le foyer des agences du machiavélisme Anglais ;