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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/186

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» s’envoyent d’ici, ne pourrait-on pas tracer à l’encre blanche un avis qui reparaîtrait coloré en France, et prouverait la dénonciation ? Quel coup d’éclat ! quelle confusion pour ces scélérats ! quel triomphe pour l’innocence ! — Réprimez ce transport, Madame, la même impossibilité existe. Toutes les lettres qui partent d’ici sont passées au feu au départ et à l’arrivée. Croyez qu’en fait de ruse, ou plutôt de perfidie, on ne peut rien apprendre à l’infame Talbot et à son protégé Falso. »

— Grand Dieu ! que devenir ? m’écriai-je, désespérée. Je tombai dans un abattement inexprimable, puis me relevant tout-à-coup, je m’élançai au soupirail vitré de l’appartement. — « Observons ceci, mon ami, lui dis-je avec inspiration, observons. D’abord je vois que ce jour est au-