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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/244

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» me fit passer par tous les modes de la discrétion ; enfin j’ai été admise, admise pour vous fuir, vous haïr ; je vous retrouve, vous revois, et vous chéris encore. »

» Alors je vis couler des larmes, le crayon lui échapper, et son sein palpiter avec violence. Nircé essaya en vain d’esquisser pour éviter d’être surprise ; vingt fois elle reprit et quitta son ouvrage. Je lui fis sentir, en peu de mots, la nécessité de se contraindre, je lui observai que nous pouvions être entendus, et que ce n’était qu’en inspirant de la confiance, que nous obtiendrions plus de liberté par la suite.

» Ce mot lui rendit son teint de rose ; elle acheva une esquisse qui me parut flattée, mais d’une exécution parfaite. Mlle. Fischer arriva bientôt, et conclut qu’on n’avait pas perdu de tems. Nircé reçut des éloges sur son