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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/306

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tions dans un appartement gothique, et près d’une femme de cinquante ans à-peu-près, ayant du rouge jusqu’à la pointe des cheveux, à demi-aveugle et faisant à ce qu’elle croyait de la tapisserie. A côté d’elle, un Abbé du même âge environ, à la face blême, à l’œil faux, faisait une lecture pieuse. Ce travail important fut interrompu par notre introduction. On juge du pathétique de la scène. L’Abbé s’éloigna par discrétion et tout deux aux genoux de cette bonne tante, nous protestâmes de notre innocence, et de notre retour sincère à la vertu. Julie raconta ses avantures guerrières, montra sa lettre du Prince ; c’en fut assez pour pénétrer de joye la dévote Mlle. Brunher, à laquelle on exposa ensuite mes malheurs avec un pathétique à arracher les larmes.

La bonne tante s’opposa long-tems