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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/450

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les supplices physiques et moraux se faisaient sentir à-la-fois, lorsque des cris et un bruit de cristaux cassés se font entendre. Salviati ordonne de continuer. Bientôt le bruit redouble. « Entendez-vous ? tous mes récipiens sont brisés, s’écrie le Baron d’Olnitz… Quelque détonnation extraordinaire y aura donné lieu. » Bientôt le fracas devient plus grand, des voix s’y mêlent ; celles d’Edvinski, de Durand, se font entendre. Nos Physiciens changent alors de visage, leurs doutes s’éclaircissent ; car une nuée de Sbirres se précipite dans l’appartement, après avoir parcouru toutes les pièces et fracassé les machines qui les arrêtaient. Le Podestà et les Sbirres restent immobiles à la vue de cet appareil étrange, et Durand jette sur nous son manteau, pendant que Salviati demeure fièrement sur son pain