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Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/61

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» quittez mon hôtel, s’écria-t-il ! aurais-je été assez malheureux pour ne pas vous prévenir, vous rendre tous les soins que vous méritez ? Disposez, Madame, de tout ici, ordonnez… » En disant ces mots, il ne s’appercevait pas qu’il serrait de sa main étique la mienne, à me faire crier : il insista inutilement ; ses yeux rouges voulurent en vain être tendres, il ne purent que m’effrayer et me confirmer dans mon projet. Malheureuse ! je ne fis que hâter mes revers ! Il me demanda au moins quinze jours pour me trouver un local convenable. Tout était occupé dans la ville ; il fallait disposer un appartement, le meubler… Je promis huit jours, en le comblant de remerciemens ; mais tenant à mon dessein d’une manière irrévocable. Mon placement fut fait chez le nou-