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Page:Rabelais marty-laveaux 04.djvu/379

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LETTRES. DOCUMENTS. 371

epijloice. Pariliis, 1556, 11^-4", p. 109. Elle se trouve aussi dans : Bud ei epifiolir grceccP^ per Ant. Pichonium Chartenfem l.atince fuclce. Parifiis, 1574. Apud lohan- nem Benenatum, 111-4", P- ^40’

Page 296, 1. 20 : t^u-mv. Ainsi dans la première édi- tion ; ûjj.wv dans la suivante.

L. 3 1 : cu[ ; !.cpoiTYi-à. Ainsi dans les deux éditions. C’est le duel, assurément fort justifiable ici.

Page 299. Nous aurions dû placer ici, après les lettres de Eudée, un compliment grec de Rabelais à Tiraqueau signalé par Le Roy ( Rahelajina elogia. p. 129) et publié par Burgaud des Marets dans sa 2 édition (t. Il, p. 630). Il se trouve en tète de l’ou- vrage intitulé : AndrecE Tiraquelli Fontiniacenfis fup- priEfecli ex commentarlis in Piclonum confuetudines feclio. De legibus connuhialibus & lure maricali. Cum priuilegio. Venundantur Parifiis a Gallioto a prato in aula palatii regii fub primo pilari, 1524. In-4". Il est suivi d’un quatrain de P. Amy à Rabelais que nous reproduisons également.

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« Voyant ce livre dans les demeures élyséennes hommes et femmes indistinctement dirent :<( Les lois par lesquelles le fameux André a enseigné à ses Gaulois l’union conjugale et la gloire du mariage, si Platon nous les avait apprises, y aurait-il parmi les hommes quelqu’un de plus illustre que Platon ? »