à calmer le pays ; il faut nécessairement qu’on embarque les agitateurs et les factieux et qu’ils aillent ailleurs prêcher le dogme de l’indépendance[1].
« Les hommes acharnés contre a loi du 4 avril, et connus sous le nom de Léopardins et Blanchelandistes, sont tous ensemble de vrais aristocrates. Les premiers, avec un front d’airain, semblent s’appuyer de la loi, pour en extraire ce qui leur convient : les autres ne respirent que l’ancien régime, leur projet est toujours le même, de faire égorger, s’il est possible, par les nègres, tous les citoyens de couleur, plutôt que de se soumettre à la loi du 4 avril ».
« Le commissaire Sonthonax se propose de forcer le Port-au-Prince, d’obéir à la loi, et à mettre un frein à ses actes d’indépendance ».
« Notre correspondance avec le commissaire Polverel, actuellement aux Cayes, est détournée par ceux qui ont intérêt aux désor-
- ↑ Idem de même.