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Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/195

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chère et précieuse. Je supplée à votre absence par la vivacité de mes désirs, ma pensée est toujours dirigée vers vous. Maman est-elle heureuse ? maman est-elle contente ? Adieu, ma tendre mère, vous êtes ma joie et mon bonheur, je sacrifierais tout, excepté Dieu, pour vous plaire.

Votre fils tendre et respectueux,

E. RENAN