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Page:Renard - Coquecigrues, 1893.djvu/267

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RUPTURE



À Georges d’Esparbès.



DAPHNIS, LYCÉNION


I


DAPHNIS. — Je viens de faire ma dernière course à la mairie. Tout estprêt. Que ne peut-on s’endormir garçon et se réveiller marié !

LYCÉNION. — Moi, je suis allée chez le fleuriste. Il s’engage à fournir tous les jours un bouquet de quatre francs. Oh ! j’ai marchandé ! Par ces temps froids, ce n’est pas cher.