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Page:Renard - Coquecigrues, 1893.djvu/41

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plus loin qu’elle le vit entrer, la maîtresse de maison s’écria :

— Je parie que vous avez fait des folies ! venez çà, vite, que je vous gronde !


III


Au dîner, dès le potage, la maîtresse de maison dit :

— Un peu ? non, bien vrai ? Vous ne faites pas honneur à la cuisinière. Je suis désolée. Vous savez : il n’y a que ça.

Le premier des trois répondit : « Mâtin ! »

Le second : « Je l’espère bien. »

Le troisième : « Je voudrais bien voir que ce ne fût pas tout. »

Ensuite les plats défilèrent, comme il est prescrit, s’épuisant à calmer les faims.


IV


Après avoir mangé, chacun comme quatre, et tous comme pas un, les trois amis dirent parallèlement ;