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Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/295

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fiance d’Augé, que nous avons vivement réprimandé. Je n’ai rien lu.

603. 22 Xbre. Le matin, relu les lettres de l’Infidelle, travaillé sur D iid volume Françaises. Le soir, vu Guillot piqué.

604. 23 Xb. Non venu dans ma chambre ; le matin, relu les dernières lettres Infidelle ; lu C I volume Françaises, non trouvé M. Le Grand. Sur l’île, vu la date 23-1782, linqui Saram ; le soir, retouché aux dernières lettres Infidelle.

24 Xb. Le matin, ii de H XIX volume. Lettre pour M. Berger[1], qui demande mes ouvrages. J’écris à Montlinot et Saint-Mars. Fait le tour orientale de l’Ile : vu la Bizet, et Petit, qui 30 livres.

605. 25 Xbre Le matin et l’après-midi : 1re anecdote des Parisiennes, La Mélancolique. Fait le tour de l’Ile entier.

26 Xb Matin iide anecdote, La Gaie, la Rieuse ; 3 pages de ma Fisique, les Sens : le soir, vu Mme Colombier[2].

27 Xbre. Le matin, une page de la Fille colère ; à l’imprimerie sur les lettres du XIX volume 40. Le soir, vu la jeune Dassez ; non à mon Ile ; lu la seconde de C I volume Françaises, et D. d. Infidelle.

606. 28 Xb. Matin, fin Fille colère, com-

  1. Le correspondant littéraire de Voltaire ( ?).
  2. Il est question d’un Colombier, parfumeur, au § 730, et d’une dame Petit-Colombier au § 745. Celle-ci devait être la femme du libraire Petit. Observons toutefois que Restif a connu le docteur-régent de la Faculté de médecine Colombier, qui était censeur royal ; on trouve son nom dans une des lettres publiées dans le tome XIX des Contemporaines, 2e édition.