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Page:Robert - Les Ondins, tome I.djvu/175

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leur liberté, sont condamnés aux mêmes peines ; ces gens me paroissent pleins de candeur & de bonne foi. Il est vrai, dit Verdoyant, qu’ils sont simples & sans malice ; mais ici le châtiment est proportionné aux fautes qu’on a commises, & ceux que vous voyez ne descendent sous les Ondes qu’afin de s’y purifier. Moins coupables que les autres, leurs peines sont aussi plus légeres & plus courtes, & ils ne sont point obligés de boire le thé. Tramarine exigea du Génie une explication beaucoup plus étendue, à laquelle il le prêta volontiers pour l’instruction de la Prin-