Aller au contenu

Page:Robert - Les Ondins, tome I.djvu/73

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cesse, qui la reçut avec beaucoup de constance, & marqua, dans cette occasion, que la grandeur de son ame étoit au-dessus de l’adversité ; son cœur, semblable à un rocher où les flots viennent se briser pendant la tempête, n’en fut point abattu ; elle entendit tranquillement l’Arrêt foudroyant que ses ennemies venoient de prononcer contre elle.

Séparateur