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Page:Robert - Les Ondins, tome II.djvu/117

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tâcher de le surprendre. Après que cet oiseau lui eut fait faire mille & mille tours, fatigué sans doute, il vint enfin lui-même se reposer sur lui, & il s’en saisit aussi-tôt. Ce fut alors que les voûtes du Temple s’ébranlerent ; la septieme porte s’ouvrit avec un fracas épouvantable, & des cris de joie se firent entendre de toutes parts.

Le Chevalier victorieux, saisi de son oiseau, traversa une grande cour, au bout de laquelle étoit un lac très-profond qu’il fallut encore passer à la nage afin de se purifier, sans néanmoins quitter l’oiseau, sans quoi il falloit recommencer un nouveau com-