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BEETHOVEN
Je fais halte, à ce point de ma route. Car nous somme arrivés à un tournant de l’art et de la vie intérieure. Je vois en ces quatuors, pour la première fois peut-être dans la musique de Beethoven, des éléments « démoniaques », qui, par la suite, vont s’affirmer. Les gonds de l’âme grincent. A la porte de bronze du monument romain, un étrange Visiteur a heurté... Nous, fermons ici les portes de ce livre ! Il est consacré à la volonté d’ordre et à la raison classique, à l’impérial maître d’œuvre, qui domine tous les peuples du Rêve, vaincus et conquis. Dans les chapitres prochains, nous verrons peu à peu les guerres d’indépendance, la revanche du Rêve. Octobre 1927, R. R.
