Aller au contenu

Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/51

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Mais ni sa mère ni personne
Ne surprendront ces regards-là
Par lesquels il dit : « Me voilà ! »
À son propre cœur qui frissonne.