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Page:Rosny aîné - La Jeune Aventureuse, 1928.djvu/151

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VIII

Cet après-midi, Mlle Carembot achevait le bilan qu’elle dressait chaque mois. La fournaise du soleil rôtissait la chaussée et mordait rudement le store en auvent de la boutique.

Catherine, complètement guérie, Marcelle, la petite Germaine et la jeune Cécile travaillaient.

C’était un jour intolérable, un de ces jours où l’énergie déserte les nerfs et les muscles.

— Ous qu’est la rivière ? gouailla la jeune Cécile. Faut que j’y plonge… Par