C’est d’y voir mourir Hector et Achille. Ce sont deux héros admirables, vaillants et pleins d’honneur, tandis que Paris est un séducteur de femme et Ménélas un mari ridicule. Et cependant c’est Hector et Achille qui sont tués. Et Ménélas victorieux, sans une égratignure, reprend sa femme ! Cela me révolte.
Tu as raison, Marcel.
Si Wolfe et moi perdions la vie dans cette guerre, nous mourrions au moins pour une noble cause, une cause digne de tous les sacrifices.
L’enjeu de la lutte entre nous n’est pas une misérable femme, mais tout un vaste pays du plus grand avenir…
Pauvres Troyens, comme ils se sont fait jouer par les Grecs !
Et quelle dût être leur surprise de voir l’ennemi introduit dans leur ville par ce fatal cheval de bois !
Heureusement qu’on n’en fait plus de ces chevaux-là.