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Page:Ségur - Quel amour d’enfant.djvu/338

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julien.

Je laisse ce dernier soin à votre générosité, Mademoiselle ; mais je vais m’acquitter avec bonheur de la première partie de votre commission. »

Giselle proposa à sa mère de rejoindre dans le jardin ses tantes et son oncle, ce que Léontine accepta avec un empressement joyeux.

giselle.

Et vous ne m’embrassez pas, maman, pour me récompenser de ma sagesse ?

léontine.

Je craignais de t’ennuyer, mon enfant chérie sois bénie, mille fois bénie de la bonne action que tu viens de faire. »

Et Léontine, profitant de l’invitation de sa fille, l’embrassa tendrement, mais avec mesure, de peur de la contrarier.