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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/125

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compte que vous lui ferez le plaisir de lui adresser votre sentiment, qu’elle vous a demandé. Ainsi vous voilà engagée dans une dissertation en règle, et j’espère que vous me permettrez d’en prendre lecture. Adieu, ma très-chère cousine.

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