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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/22

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redoublerait d’estime pour moi. Adieu, mon cher cousin, dites mille choses pour moi à vos bons et généreux hôtes ; et à la Comtesse, que pour les premières roses que je ferai, je tâcherai de me rappeler les nuances de son teint.

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