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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/243

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sait la satisfacttion qu’éprouve cette grosse servante, qui se montre un dimanche à la promenade avec un bonnet à fond d’or, et cet artisan qui a des boucles d’argent larges comme son pied ? Je finirai, ma chère cousine, par un vieux proverbe, plein de sens comme tous les proverbes : À brebis tondue Dieu ménage le vent. Adieu, permettez que j’embrasse bien tendrement ma bienfaictrice.

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