Aller au contenu

Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/314

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

peut être facilement entraîné au désespoir ; mais que lui répondre ? me direz-vous. Ce qui se présentera à votre esprit, si juste, si habitué à saisir les plus délicates convenances. Je vous plains de tant d’importunités, et ne faut-il pas aussi que je me joigne à la conspiration générale ? En vérité, ma chère amie, je vous crois destinée à donner un grand exemple à notre sexe, comme vous l’êtes à en faire l’ornement. Adieu, ma chère amie.

Séparateur