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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/318

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pour moi, qui vous ai de si grandes obligations, je vous offre de nouveau, tous les sentimens de la plus tendre sœur, et vous garantis la même place dans le cœur de mon aimable Émilie. Toute une famille à aimer, Monsieur, et l’amie de la famille ! voilà, de quoi exercer la sensibilité de votre cœur. Recevez l’assurance de ma sincère amitié, et de mon éternelle reconnaissance.

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