Aller au contenu

Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/43

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

dans l’opinion de mes amis et de mes voisins, et vous de vous rétablir dans mon cœur, où vous êtes bien mal. Le seul moyen qui vous reste, c’est de m’accorder le plus souvent possible le plaisir de vous voir ; c’est de venir passer une partie du temps avec moi, de chasser sur ma terre comme sur la vôtre, et de faire demander à mes gens tout ce qui peut vous être utile, ou agréable. J’ai l’honneur d’être avec la plus haute considération.

Monsieur le Marquis,
Votre etc.
Séparateur