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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/49

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ame sensible ; enfin il a senti tout cela promptement, comme par instinct, tandis qu’un homme d’esprit, observateur, se rend compte de ce qui le frappe et tire ses conséquences. C’est pour le coup qu’il dirait bien que je m’embrouille dans mes décompositions ; mais il a tout à gagner en vérité, soit à être décomposé, soit à être pris dans son ensemble. Je vois d’ici les yeux qu’a faits votre mari, et j’entends les paroles qu’il n’a pas dites. Adieu, ma Victorine.

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