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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/77

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dans les premiers temps, les traits de l’amitié et de la reconnaissance ; ces circonstances le rendent fort excusable, et adoucissent la rigueur dont je suis prête à m’armer pour l’intérêt de ma Victorine ; au reste la rigueur ne m’est point naturelle lorsqu’il s’agit de sentiment, et je ne suis pas si méchante que je voudrais le paraître. Lorsque je lis un roman, celui qui aime le plus vivement a toujours raison à mes yeux. Adieu.

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