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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/98

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Je voudrais bien devoir à une plus heureuse circonstance, le bonheur de me rappeler à votre souvenir, et je vous supplie d’agréer avec bonté l’hommage du plus profond respect, de mon immortelle reconnaissance, et de la plus juste admiration.

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