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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/235

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qu’il aurait éprouvé serait donc de m’avoir connue. Cette idée me trouble à l’excès, et je ne sais en vérité ce que je dois craindre et désirer. Après demain le Commandeur nous rendra compte de sa négociation ; vous en serez instruite aussitôt. Adieu, mon Émilie, vous avez moins besoin que jamais, en ce moment, de votre pénétration pour lire dans un cœur qui s’ouvre à vous entièrement, ma tendre amie.

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