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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/239

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vous le voyez, de ce qui pouvait donner au Marquis une juste idée de la grandeur de sa maison ; parlez-lui aussi de la reconnaissance et des regrets du Marquis, et dites que ce digne homme a parlé de lui avec une haute considération, et avec beaucoup d’estime de la jeune Comtesse. Adieu, ma chère sœur, comptez toujours sur ma tendre affection et embrassez pour moi ma chère nièce.

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