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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/116

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plus heureux que moi, se rendra demain chez monsieur le Commandeur. Adieu, Mademoiselle, conservez-moi vos bontés, agréez mon tendre attachement, et daignez faire part au Commandeur et à la Comtesse de mes remercîmens, de mes regrets et de mon impatience de les voir.

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