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Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/373

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ment dans l’immensité de votre gloire. Oh ! mon Dieu ! ne faites rien pour moi ! n’accordez mon pardon qu’aux larmes de cette mère adorée qui ne cessa de vous connaître et de vous servir ; regardez-nous comme deux fleurs desséchées par le venin du serpent, et que le souffle pur de votre ame céleste peut ranimer au sein de l’immortalité.