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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/261

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Justine travaillaient pendant ce tems-là sur son derrière, elles le polluaient de toute leur force.

Cette attitude, employée près d’un quart-d’heure, ne produisit encore rien ; il fallut la changer. Les vieilles étendirent la comtesse dans une chaise longue, couchée sur le dos, ses cuisses dans le plus grand écart possible. La vue de ce con mit Gernande dans une espèce de rage ; il le considère en frémissant, ses yeux lancent des feux, il blasphême, s’empare des lancettes, se précipite comme un furieux sur sa victime, la pique sur le ventre et sur la motte, en sept ou huit endroits différens, pendant qu’un giton ne cesse de le sucer. C’est ici où Bressac et d’Esterval, plus enflammés de ce redoublement de luxure, enfilèrent chacun un garçon. Cependant les blessures faites par Gernande n’étaient encore que très-legères : il invite Dorothée à lécher ce vagin bâillant de sa femme, elle le fait ; puis Gernande met à sa portée le beau cul de la d’Esterval, pour le traiter avec la même rigueur qu’il vient d’employer avec sa femme. — Ne vous gênez pas, dit d’Esterval voyant qu’il use de discrétion ; piquez, piquez ; il n’y a jamais d’inconvénient à faire saigner le cul