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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/343

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guiser ses armes ; voyez, sacre-Dieu, ce vit-là ; voyez s’il n’est pas en état de faire à ma sœur, ce qu’il vient d’entreprendre avec ma mère ; j’insinuerai dans le cul de la fille la merde que je viens de pêcher au cul de la maman ; rien de plus délicieux au monde ! Et se jetant sur Cécile, il la met dans la même attitude où il vient de placer sa mère. Le fripon s’apprête à la traiter également, lorsque Verneuil, suspendant les fureurs de son fils, le prie d’en retarder un moment le cours, pour mettre plus d’ordre à ses voluptés. Cécile, agenouillée sur le saint sopha, présente en plein la double route des plaisirs : Verneuil prépare les voies ; il introduit son fils dans celle de Sodome. À cheval, sur les reins de Cécile, est, avec soin, placée Laurette, qui présente aux baisers du jeune homme à l’endroit, le temple le plus frais et le plus mignon qu’ait encore eu l’Amour sur terre. De droite et de gauche, mesdames de Gernande et de Verneuil offrent leurs culs à patiner ; Verneuil encule son fils, John le lui rend. Bressac, d’Esterval, Gernande et Dorothée, ivres de ce spectacle, l’entourent… le premier en sodomisant un giton, le second pollué par Marceline, dont il pince