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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/159

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moi ; nous fûmes donc ainsi foutues, chacune d’abord soixante et quatre coups : pendant les derniers, nos femmes étaient passées dans la seconde pièce, où elles travaillaient à faire rebander les moines. La seconde course recommença… Encore soixante et quatre coups chacune ; mêmes procédés pour la troisième ; mais ce fut le cul que nous présentâmes ; et nos athlètes nous furent envoyés cette fois, de manière à ce que nous eussions toujours un vit dans le cul, l’autre dans la bouche ; et c’était celui qui sortait de nos culs que nous suçions, afin de le préparer à la quatrième attaque. Ici, l’on observait l’alternative ; c’est-à-dire, que je suçais le vit qui se retirait du cul de Clairwil, et elle suçait celui qui sortait du mien. On redoubla, de manière, qu’après cette première scène, nous avions été foutue chacunes cent vingt-huit coups en con, et cent vingt-huit en cul, formant deux cent cinquante-six en tout. On servit des biscuits et des vins d’Espagne, puis les grouppes se formèrent.

Nous reçûmes à la fois huit hommes ; nous avions un vit sous chaque aisselle, un dans chaque main, un dans les tetons,