chier mutuellement sur les tettons ; elle le fit, je ne pus lui rendre ; un homme, en se faisant enculer, vint manger l’étron que cette femme avait fait sur mon sein ; et il chia lui-même après, en déchargeant dans la bouche de celui qui venait de le foutre.
La présidente eut envie de moi ; elle se fit relever par un homme, et vint me trouver ; nous nous baisâmes, nous nous suçâmes, nous nous dévorâmes de caresses ; je n’avais jamais vu de femme, excepté Clairwil, décharger avec tant d’abondance et de lubricité ; sa passion favorite était de se faire enculer pendant qu’appuyée sur le visage d’une femme, elle s’en faisait sucer le con, en en gamahuchant une autre ; nous exécutâmes ce tableau, et la putain reprit son fauteuil.
Les hommes revinrent : à cette seconde séance, je trouvai peu de conistes, mais infiniment de bougres, quelques masturbateurs, et une douzaine de fouteurs en bouche ; un d’eux se fit sucer par un jeune homme, pendant qu’il sentait et respirait mes aisselles ; il les léchait de tems en tems, ce qui m’occasionnait un chatouillement très-agreable. Je fus fouettée cinq ou six fois ; je reçus trois ou quatre lavemens que ceux