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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/96

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reins, pendant qu’il branle l’autre avec toute l’adresse imaginable. Tu me crèves scélérat, dit Clairwil, en jurant comme une forcenée ; ah ! sacré foutre-dieu, je ne tiens pas à tes coups de reins ; il n’en est pas un seul qui ne me coûte un torrent de sperme… Baise-moi donc au moins, redoutable fouteur…… enfonce ta langue dans ma bouche, aussi avant que ton vit l’est dans ma matrice… Ah ! foutre, je décharge, ne m’imite pas, poursuit-elle, en le jetant de côté, d’un vigoureux coup de cul : réserve tes forces, il faut que tu me limes encore ; mais le malheureux ne pouvant se contenir, déchargeait une seconde fois ; je le branlais en dirigeant sur le con tout baillant de Clairwil, les flots écumeux qu’il lançait. C’était avec du foutre que je tâchais d’éteindre les feux qu’allumait le foutre. Ah ! double foutu-dieu, dit Clairwil en se relevant, ce bougre-là m’a tué… Juliette, tu ne le soutiendras pas. Cependant elle s’empare du moine, elle le secoue ; pour presser l’érection du serviteur de Dieu, la coquine essaye de le sucer ; mais l’engin est trop gros pour entrer dans sa bouche : usant d’un autre moyen, elle