Aller au contenu

Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/110

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

divin, il m’était impossible de m’en rassasier, et je le lécherais, je le sucerais peut-être encore si ma chère Emma n’eût point détourné mon attention pour me faire appercevoir le membre sublime dont était pourvue notre proie : à peine ai-je empoigné cet engin superbe, que je lui présente un cul qui brûle du desir de le posséder : ô Villeneuil ! m’écriai-je, daigne commencer par moi ; ces charmes que tu desires, poursuivis-je, en désignant Emma, vont t’appartenir aussitôt que tu te seras rendu maître de mon cul ; mais songe qu’ils ne te seront accordés qu’à ce prix. Je suis foutu ; voilà l’unique réponse de Villeneuil : je lui trousse ma maîtresse, il la manie, il la baise en me foutant ; et n’étant plus le maître de sa passion, l’animal me quitte pour enfiler le con haletant d’Emma ; voyant ses fesses bien à ma portée, je m’en empare et le sodomise, pour me venger de l’affront qu’il vient de me faire ; il décharge ; je le ressaisis au sortir du con d’Emma, lui trouvant encore assez de roideur, je me le renfonce dans l’anus, j’encule Emma, et la plus douce extase vient encore une fois couronner nos plaisirs ; nous recommençâmes ; Villeneuil enconne mon