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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/273

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lotte de Lorraine se jettant à mon cou, me fit comprendre, par mille baisers, combien elle était déjà sensible aux plaisirs que je lui promettais. Les cérémonies se supprimèrent ; Ferdinand nous déshabilla toutes deux ; puis ayant introduit dans cet asile un jeune page de quinze ans, beau comme le jour, qu’il mit dans le même état, Charlotte et moi, nous nous branlâmes sur le canapé, pendant que, bien en face de l’opération, Ferdinand, pollué par son page, lui baisait ardemment la bouche en lui branlant le derrière.

Oh mes amis ! quelle femme, que cette Charlotte ! je crus que l’impudicité même avait établies toutes ses flammes dans le con de cette putain royale ; Charlotte, ses cuisses enlacées dans les miennes, frottait avec ardeur son clitoris sur le mien ; ses mains embrassaient mes fesses ; l’un de ses doigts chatouillait le trou de mon cul, sa langue enfoncée dans ma bouche, pompait ma salive avec ardeur : la coquine était toute en feu, et le foutre exhalait par ses pores ; je n’y tiens pas, je change de posture, nos têtes, entre les cuisses l’une de l’autre, nous facilitent les plaisirs de la succion. Oh ! comme elle me rend ce que je lui prête ; si mon