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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/322

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ou sur les tetons ; tous ensuite furent branlés par les petites filles sur nos clitoris ; une de celles qui ne branlait pas, inondait, mouillait, frottait cette délicate partie avec le sperme que sa compagne faisait éjaculer, pendant qu’une troisième, à califourchon sur nos nés, nous faisait baiser à-la-fois l’intérieur de son con et le trou de son cul.

Une flagellation suivit. Nous foutions les hommes qui, du même tems, le rendaient aux filles ; nous nous fîmes ensuite attacher, nos mains étaient liées au-dessus de nos têtes, et nos jambes à des pieds de lit ; là, chaque homme nous administra cent coups de verges ; nous pissions, pendant ce tems-là, sur le visage de trois petites filles étendues à nos pieds, pour cette cérémonie ; nous livrâmes ensuite ces dix enfans à nos trente fouteurs, qui les dépucelèrent et les déchirèrent toutes les dix, et par devant et par derrière : nous fustigeâmes vigoureusement ensuite ces dix enfans, pendant que les hommes nous insultaient de toutes les manières possibles et nous meurtrissaient à grands coups de pied dans le derrière : incroyablement irritées de ce traitement, nous nous fîmes encore plus complettement rosser ; ce ne fut qu’après nous