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Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/377

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célèbre branleuse du sérail, eut ordre de manualiser l’enfant en face de l’assemblée ; et le jeune homme eut permission de la manier et de la caresser en telle partie du corps, qu’il le désirerait. Nul spectacle plus voluptueux, que celui de voir une jeune fille de 15 ans, belle comme le jour, se prêter aux caresses d’un jeune garçon de 14 et l’exciter à la décharge par la plus délicieuse pollution. Hyacinthe aidé peut-être de la nature, mais plus certainement encore par des exemples, qu’il avait sous ses yeux, ne touche, ne manie, ne baise que les jolies petites fesses de sa branleuse, et au bout d’un instant, ses belles joues se colorèrent, il poussa 2 ou 3 soupirs, et son joli petit vit lança à 3 pieds de lui cinq ou six jets d’un petit foutre doux et blanc comme de la crème, qui vint tomber sur les cuisses de Durcet, placé le plus près de lui, et qui se faisait branler par Narcisse, en regardant l’opération. Le fait bien constaté, on caressa et baisa l’enfant de toute part, chacun voulut recueillir une petite portion de sperme, et comme il parut, qu’à son âge et par un début 6 décharges n’étaient pas trop un don qu’il venait de faire, nos libertins lui en firent joindre, chacun un, qu’il leur répandit dans la bouche. Le duc s’étant échauffé de ce spectacle s’empara d’Augustine, et la branla sur le clitoris avec la langue, jusqu’à ce qu’elle eut déchargé deux ou trois fois, ce que la petite friponne pleine de feu et de tempérament fit bientôt, pendant que le duc polluait ainsi Augustine, il n’y avait rien de si plaisant, que de voir Durcet, venant recueillir les symptômes du plaisir, qu’il ne procurait point, baiser mille fois sur la bouche cette belle enfant, et avaler pour ainsi dire la volupté qu’un autre faisait circuler dans