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Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/393

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de ce jour-là, qu’il y avait déjà une grande différence dans les haleines. „Ah parbleu,“ dit Curval, en langottant Augustine, „ça signifie quelque chose au moins à présent, on bande en baisant cela !“ — Tout le monde convint que cela valait infiniment mieux. — Comme il n’y avait rien de nouveau jusqu’au café, nous allons tout de suite y transporter le lecteur. Il était servi par Sophie, Zelmire, Giton et Narcisse. Le duc dit qu’il était parfaitement sûr, que Sophie devait décharger, et qu’il s’allait en faire absolument l’expérience, il dit à Durcet de l’observer et la couchant sur un canapé, il la pollua à la fois sur le bord du vagin, au clitoris et au trou du cul ; d’abord avec les doigts, ensuite avec la langue, la nature triompha, au bout d’un quart d’heure cette belle fille se troubla, elle devint rouge, elle soupira, Durcet fit observer tous les mouvements à Curval et à l’évêque qui ne pouvait pas croire qu’elle déchargeât encore et pour le duc il fut plus à même qu’eux tous de s’en convaincre, puisque ce jeune petit con s’imbiba de partout et que la petite friponne lui mouilla toutes les lèvres de foutre, le duc ne put résister à la lubricité de son expérience, il se leva et se courbant sur la jeune fille, il lui déchargea sur la motte entr’ouverte en introduisant avec ses doigts le plus qu’il pût son sperme dans l’intérieur du con. Curval, la tête échauffée du spectacle, la saisit et lui demanda autre chose que du foutre, elle tendit son joli petit cul, le président y colla sa bouche, et le lecteur intelligent devine aisément ce qu’il en reçut. Pendant ce temps-là, Zelmire amusait l’évêque, elle le suçait et lui branlait le fondement — et tout cela pendant que Curval se faisait branler par Narcisse, dont il baisait ardemment