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Page:Sade - Philosophie dans le boudoir, Tome I, 1795.djvu/50

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de la façon dont je la place, son cul vous reste, gamahuchez-le lui pendant que son con va l’être par ma langue, et faisons-la pâmer entre nous, ainsi, trois ou quatre fois de suite, s’il se peut. Ta motte est charmante, Eugénie, que j’aime à baiser ce petit poil follet… Ton clitoris, que je vois mieux maintenant, est peu formé, mais bien sensible… Comme tu fretilles — Laisse-moi t’écarter… Ah ! tu es bien surement vierge, dis-moi l’effet que tu vas éprouver dès que nos langues vont s’introduire, à la fois, dans tes deux ouvertures ? (On exécute.)

Eugénie.

Ah ! ma chère. C’est délicieux, c’est une sensation impossible à peindre ; il me serait bien difficile de dire laquelle de vos deux langues me plonge mieux dans le delire.

Dolmancé.

Par l’attitude où je me place, mon vit est très-près de vos mains, Madame, daignez le branler, je vous prie, pendant que je suce ce cul divin. Enfoncez davantage votre langue, Ma-