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Page:Saint-Point - L’Orbe pâle, 1911.djvu/121

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L’AIR est lourd, si lourd, irrespirable.

Qu’il ferait bon au fond, tout au fond de la mer ! Toute ma chair brûlante aspire à cette vertigineuse fraîcheur.

Et puis, ne plus rien savoir de la terre et des hommes !