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Page:Sainte-Beuve - Le Clou d’or, 1921.djvu/27

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Et je commençai.     .     .     .     .     .     .       .     .     .     .     .     .     .     .

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(Ici, le canevas n’est plus qu’ébauché pour ne reprendre réellement qu’aux lettres, mais il a son intérêt.)


Décidément, faire que le récit soit dans la bouche d’une femme déjà vieillissante à une jeune amie de vingt-sept ans, qu’elle voit près de s’engager dans une coquetterie amoureuse.

Elle lui raconte sa vie, sa douleur, son erreur.

Elle a cru pouvoir satisfaire celui qu’elle aimait par un demi-bonheur.

Elle décrit en détail sa situation, ses sentiments indécis. Sa grande erreur fut de croire qu’en avançant dans les années