Aller au contenu

Page:Sapho - Le tutu, mœurs fin de siècle, 1891.djvu/118

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
109
MŒURS FIN DE SIÈCLE

VI

— Oui, mon chéri, c’est comme ça. Je me suis amourachée de toi, surtout depuis que je t’ai vu sortir à pied, suivi d’une bonne. Pense donc, toi, à pied ! Et accompagné d’une larbine ! Enfin, tu es un type. Comme tu as eu tort de te marier !

Elle lui montrait son petit logement de la rue Monge, une antichambre, un salon, une chambre à coucher avec cuisine et cabinets à l’anglaise. Tout cela était meublé cossument, sans fla-fla ; seule, une petite débauche d’emblèmes chorégraphiques tachait le pan sud-

7