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Page:Saynètes et Monologues, sér. 1, 1885.djvu/189

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AUX AVANT-POSTES

» vouéSé… Qaston, marquis de BUgny, cometîe à Rot/al-Bra" Quelle franchise on sent sons cette étonrderie ! Acoepta-t-on jamais qa’un oncle se marie, — Vous ramant d’an trait en signant te contrat — D’an esprit plus joyeax et d’an cœar moins ingrat ? Il me plaît ce Gaston… je voadrais le connaître… Elle va à la feoétra. Mais te temps fait… J’attends et ne yois rien paraître… Cette Yoitare est lente k venir… Ah ! Je eiXMS Qa’on m’appelle… j’entends marcher !.. Et cette fois…

UNE VOIX) derrière la porte, arec l’acceDi de la terreur. Madame la dachesse l… Ah t On entend un bruit conliM qui m rapproche peu à peu.

DIANE, inquiète. Poarqaoi ce cri d’alarmes ?.. Elle va à la porte. Qadle est cette rameur subite ?… Et ce brait d’armes ?… Que se passe-t-il donc ici ? Elle souffle firemeat les lumières et se oache dans le cabinet à droite.

GASTON, dans la eeafisse. Tenez-le bon ! Muselez-le, s’il crie, ayec un fort bâillon…

SCÈNE II

GASTON, seal. n entra, an large mantean sur les épairies, tenait de b Bsitt deoito « n pistelet, at de la ganehe nne katBtM de roitare arec laquelle i a’é<^Bire. — Son sabre traîne.

Personne !.,. La maison est tout à fait déserte ! U ouvre la fenêtre et parle à la eantonafie.